En 1278, Foulque de Bouthéon inféode pour vingt livres viennois au prieuré de Saint-Rambert,
la grange de la Lande tenue par Girinet de la Lande, donzeau. Le Comte de Forez obtient l’hommage direct des héritiers de Girinet sans que l’on sache s’ils ont dédommagé les Bouthéon ou le
Prieuré.
En 1307, l’héritière de Girinet, Marguerite de la Lande, veuve de Guyon d’Angérieu, teste et
élit sa tombe dans le tombeau de ses parents à Saint-Marcellin (cimetière Sainte-Catherine ?)
Sa fille, Marguerite d’Angérieu, dite « La Chaya », veuve de Gérenton Blanc, avoue
en 1311 au Comte Jean de Forez, l’héritage de la Lande: maison et son domaine utile.
Les Angérieu s’éteignent, environ après 1360 (Chartes du Forez n° 491, 1277, p178 179).
Marguerite d’Angérieu épouse Jean Maréchal d’Apinac, seigneur d’Ensalvages ou de la Tour des
Sauvages (près d’Aurec, Haute-Loire). Ce qui fit nommer le domaine de la Lande « La terre du
Sauvage » quelques années plus tard dans le terrier de Batailloux.
L'étang de la Lande, un lieu paisible apprécié des promeneurs et des pêcheurs.